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Fiançailles de David Habib
et Hanna Asseraf à Jérusalem
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photos: Israel Bardugo

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Réunion de préparation à Chavouot à Jérusalem avec le Rav Mendel Attal

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Jeudi 5 juin 2008 - 2 Sivan 5768 - 01:13
France - Boulogne
Kinous Torah de Chavouot
au Beth Habad de Boulogne
avec le Rav Kalmenson (Roch Yéchiva de Brunoy)
et le Rav Zerbib (Roch Kollel de Yerres)
mercredi 4 juin 2008


retransmission du direct

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soirée retransmise en direct sur

Kinous Torah

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Le délégué de l'organisme Zaka dans la capitale russe, Shaya Deutsch, a relaté les faits au site Ynet, en précisant que des passants avaient soudain entendu des cris à proximité de la yeshiva. Des pompiers, dont la station se trouve non loin de l'établissement, se sont immédiatement rendus sur les lieux et ont alerté la police qui a réussi à mettre la main sur le meurtrier. D'après les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'une affaire criminelle sans autre connotation.

Deutsch a encore raconté que le mari de la victime, voyant que sa femme tardait à rentrer, était sorti à sa rencontre. Lorsqu'il est arrivé à proximité de la yeshiva, il a aperçu un attroupement et quand il s'est approché du groupe, on lui a annoncé la terrible nouvelle.

Des volontaires de Zaka ont rempli une fois de plus leur mission en recueillant sur place le sang versé, conformément aux préceptes religieux. En outre, le grand rabbin de Russie, Berl Lazar, est intervenu auprès des autorités locales afin d'éviter qu'une autopsie soit pratiquée sur la victime. Il a également offert son aide à l'organisation Zaka pour que le corps de la jeune femme puisse être rapidement rapatrié en Israël pour y être inhumé.

Le couple avait été envoyé à Moscou, avec ses deux enfants, pour enseigner la Tora au sein de la communauté juive de la capitale russe. Qui aurait pu imaginer que cette mission se terminerait par un tel drame ?

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Est-ce l’outil indispensable du « olé ‘hadach » ?
S.B : N’exagérons rien. Je crois que quiconque se sent un lien avec la terre d’Israël doit concrétiser ce sentiment en n’ignorant pas la langue par laquelle s’est transmis notre tradition à travers les âges. Qu’on décide de s’établir en Israël ou d’y voyager, il convient de connaître assez la langue pour s’identifier pleinement à ceux pour lesquels notre cœur bat, pour dialoguer avec eux, les entendre et les lire dans le texte. C’est un apprentissage progressif, mais il commence par le vocabulaire. C’est en ce domaine que cet ouvrage apporte une modeste contribution. On y apprend comment on dit « animateur de radio », « pare-brise », « traitement de texte », « tournevis », « accorder un piano », « coccinelle »…

Quelle idée est à la base de ce livre ?
SB : L’idée que lorsqu’on vit en dehors d’Israël et qu’on n’est pas sérieusement engagé dans un Oulpane intensif, il est assez difficile de côtoyer assez le vocabulaire usuel de l’hébreu moderne pour qu’il se fixe dans l’esprit. Et lorsqu’on passe quelques vacances dans le pays où cette langue retentit partout, les loisirs qu’on y prend ne sont pas toujours d’un très grand secours. Les olim ‘hadachim eux mêmes ont parfois toutes les peines à engranger un vocabulaire abondant dont ils n’ont pas fait usage pendant des années. Et puis le vocabulaire de l’hébreu parlé n’est pas toujours celui des termes académiques contenus dans les dictionnaires. Sans compter les mots qui apparaissent avec l’actualité politique et technologique. La connaissance de mots comme « député », téléchargement », « perceuse », « vaccin » ainsi que les abréviations en usage dans la vie courante sont indispensables à qui veut vivre en prise directe avec la réalité quotidienne d’Israël. En Israël, une queue de cheval se dit « coucou ». C’est modérément inventif mais c’est la réalité. Enfin, il y a des mots issus de l’hébreu traditionnel dont l’usage a été actualisé comme « rèchèth » qui signifie « réseau » ou « taassiya » qui signifie « industrie ».

Quel est l’originalité de cet ouvrage ?
SB : Les dictionnaires sont aussi indispensables qu’instructifs mais ils ne sont pas passionnants. On ne les consulte que si on en a besoin (ou si on souffre d’insomnies chroniques !). Ce livre est à la fois ludique et instructif. Les jeunes et les moins jeunes, tournent et retournent les pages et, à mesure que les images leur parlent, les mots intègrent leur mémoire. Il n’a nulle vocation de se substituer à un dictionnaire (avec 2000 mots ça serait fortiche !) mais c’est l’occasion, comme son nom l’indique, de goûter l’hébreu avec les yeux et d’en préserver la saveur dans l’esprit.

Est-ce votre côté Loubavitch qui vous a inspiré ce petit bijou graphique ?
SB : Non, c’est mon côté Paul Valéry. Il disait : « Je n’y peux rien, tout m’intéresse ». Remarquez que cela n’est pas forcément incompatible. L’histoire nous montre que ce joli mot aurait très bien pu être prononcé par le Rabbi de Loubavitch. Plus sérieusement, c’est une heureuse séquelle de mon parcours d’informaticien. Chez le grand constructeur d’ordinateurs où j’ai fait ma carrière, j’ai eu l’occasion de toucher à beaucoup de choses. Alors quand j’ai commencé à écrire, la marotte graphique ne m’ayant jamais quitté, je me suis dit « Séraphin ! » (non bien sûr, pas Séraphin, Schlomoh) autant en faire quelque chose d’utile.

Merci Schlomoh Brodovicz



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Le journaliste de Wine Spectator, Kim Marcus, a visité discrètement Israël il y a deux mois. Il s’est rendu dans plusieurs vignobles et a sélectionné les meilleurs vins du pays. Trois vins israéliens ont reçu une note impressionnante de 92 sur 100.

Dans son article, Mr Marcus souligne la forte progression de l’industrie vinicole israélienne. Au total, 14 vins israéliens ont été notés au dessus de 90 par Kim Marcus.

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